La France poussée aux extrèmes

A titre de réaction aux résultats du premier tour des élections présidentielles 2012, veuillez trouver ci-joint (clic):

Ce n’est pas parce-que nos idées sont minoritaires qu’elles ne sont pas justes. Elles méritent d’être défendues !

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Une réponse à La France poussée aux extrèmes

  1. Emmanuel AMPHOUX dit :

    J’ai bien regardé cette soirée de 1er tour de l’élection présidentielle 2012, et je n’ai pas été déçu!
    Ou plutôt si, bien sûr, devant le score final de François Bayrou, qui seul contre tous, 1 contre 10, proposait des engagements crédibles et raisonnables et envisageait un autre type de majorité pour notre pays, fait de mobilisation solidaire et nationale, autour de valeurs communes, pour nous redresser tous ensemble…
    Pour le reste, je ne suis pas déçu : le spectacle affligeant donné dans les médias audiovisuels par les représentants de l’UMP a été édifiant tout au long de la soirée… le spectacle donné par les soi-disant centristes de l’UMP ( ceux qui se disent radicaux) n’a pas été moins cocasse.
    En définitive, ils n’ont toujours rien compris aux attentes et aux enjeux actuels de notre pays.
    Ils louchent « naturellement »? de plus en plus vers la droite, toujours plus à droite de l’échiquier politique national, pour tenter de séduire un vivier d’électeurs potentiels, les électeurs du Front National, afin de sauver la mise du président sortant qui, pendant 5 ans, n’a su que cliver la société française : opposer les chômeurs aux travailleurs, les français résidents en recherche d’emploi, aux travailleurs immigrés ; les riches contre les pauvres, les bénéficiaires des aides sociales, à ceux qui n’en ont pas, etc, etc …
    Leur seul salut, pour cette élection, c’est une alliance électorale implicite, discrète, de circonstance…
    Pourtant, il y a déjà bien longtemps, et à l’époque les débats d’entre deux-tours étaient d’une autre tenue, un homme politique déclarait : « en politique, il est parfois préférable de perdre une élection que de perdre son âme! »
    A l’époque, cela avait fait réagir, sainement. Aujourd’hui il n’en est encore rien.
    Dans deux semaines, nous verrons où nous en sommes.
    Je forme l’espoir que rapidement, dès l’élection présidentielle passée, les centres se retrouvent pour représenter dans un parti réunifié, leurs idées de concorde et modération, leurs idées de solidarités, loin des idées extrêmes qu’elles soient de droite, ultra libérales ou de gauche, irréalistes. Une renaissance d’une UDF? bien clivée et indépendante de l’actuelle UMP, porteuse d’avenir et tolérance.

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