On connaissait l’ampleur des « frais de bouche » de Jacques Chirac à la Mairie de Paris. Les personnes les mieux informées savaient parfaitement que l’origine de ces dépenses était l’air de la campagne corrézienne qui, c’est bien connu, creuse grandement les estomacs.
L’hypothèse semble confirmée avec la nouvelle génération politique. Allez, c’est le week-end, jetez un coup d’oeil en cliquant dans le trou de la serrure.
Comment voulez-vous que notre président soit svelte et élancé ? Et en plus, c’est ce cher René Dosière à qui le PS a tant fait de misère qui le dit.
Allez, bonne fin de semaine, digérez bien !